Salix OS est une distribution basée sur Slackware qui se veut simple, légère, rapide et facile à l'utilisation. Le but premier étant de garantir la stabilité.
Salix étant à 100% compatible avec Slackware, toute la documentation s'y rapportant est complètement valable.
Salix se distingue principalement de Slackware par un gestionnaire de paquets qui gère les dépendances automatiquement (gslapt). Ce qui rend une installation et une maintenance des paquets plus aisée.
Bureau : Xfce, MATE, KDE, Fluxbox, Openbox, Ratpoison Orientation : Desktop, Live Architecture : i486, i686 et x86_64
Avis personnel et temporaire (testé sous Xfce) : - Installé sous VirtualBox sans trop de difficultés... l’installeur est entre le mode texte et le mode graphique Un look un peu préhistorique mais qui fait bien son boulot (Pas aussi simple qu'une Manjaro, Mint, etc.). - Le thème de base est laid mais bon... c'est comme customiser KDE, Xfce,... - Plus léger et moins de paquets installés que sur Manjaro (comparaison Xfce - Xfce). - Le gestionnaire de paquets n'est pas trop compliqué à utiliser (gslapt), il y a beaucoup sur Sourcery aussi (qui ne gère pas les dépendances par contre). - Je ne sais pas comment expliquer mais, de part sa simplicité, cette distribution "pue" la stabilité (encore à tester).
Si je devais lui donner un niveau de difficulté, ce serait intermédiaire. Plus difficile à utiliser que Manjaro mais plus simple qu'Arch.
Je pense franchement l'installer sur mon laptop pour tester en réel et voir son comportement sur la durée En tout cas, elle a passé le test de la VM avec succès. C'est du sérieux avec une belle gestion des paquets.
Salut. Effectivement une belle distrib.Pour l'avoir testé dans mes années " je boote sur tout ce que je trouve" je ne me rappelle pas d'un niveau de difficulté plus élevé que sur Manjaro, au contraire. Mais bon ça fait quelques années, donc ça a peut être changé...
Manjaro KDE 5 Stable
CM: ASRock Z97 PRO4
CPU: Intel Core i7-4790K @ 8x 4.4GHz
GPU: GeForce GTX 1050 Ti
RAM: 16 Go Installation sur SDD-M2 Crucial MX300 avec données sur HDD WD 1 To
Je m'en souviens comme d'un OS hyper rapide. Mais, à moins que ça ait changé, il s'installait avec syslinux et je n'avais pas trouvé le moyen de le faire tourner avec grub.
En fait je m’intéresse à Salix dans le but de l'installer sur une machine où je n'ai pas facilement accès. Il me faut un OS stable, léger qui tient ses promesses dans le temps pour des tâches basiques : bureautique et Internet. Le cycle de mise à jour ne doit pas être celle d'une Arch non plus, je dois pouvoir facilement faire une mise à jour 6 mois plus tard le cas échéant. La personne qui utilise le PC n'a pas vraiment le réflexe de faire des mises à jour...
En chipotant encore un peu dans Salix : - Le noyau est vieux : Linux 3.10.17 avec le 3.10 on est quand même au 3.10.55 maintenant. - Firefox ESR (Extended Support Release) : version entreprise. J'aime bien le nouveau système de synchro... Opera / Midori sont standards et à jour. - Installeur de codecs proprio facile (outil intégré). - LibreOffice 4.2.5.2 sur Salix - LibreOffice 4.2.6.3 sur Manjaro. - Léger en RAM : 202MB, avec les 2Go de la machine c'est très bien. - Xfce toujours aussi simple et clair pour un débutant, redoutable (ce n'est pas propre à Salix ça).
waitnsea a écrit :Je m'en souviens comme d'un OS hyper rapide. Mais, à moins que ça ait changé, il s'installait avec syslinux et je n'avais pas trouvé le moyen de le faire tourner avec grub.
Hé bien, étant pas passé en mode "If you know what you're doing", pour reprendre les termes de l'installeur texte, je ne suis pas pas prết de repasser à grub (surtout en multiboot...). La condition étant évidemment d'avoir une machine libérée de la tutelle EFI, mais syslinux est léger & d'une simplicité remarquable & fait bien ce qu'on lui demande de faire (il n'empile pas des versions antérieurs de noyau à l'infini & au-delà, par exemple ).
Ps: Bon, j'ai quand même un mbr de rechange d'une distrib stable & grubée, au cas oû
"Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n'y a plus rien à ajouter, mais quand il n'y a plus rien à retrancher"
Antoine de Saint-Exupéry